une chance de vivre heureux [OK]

-Titre : Une chance de vivre heureux
-Auteur : Valasan
-Résumé : Elisabeth se rend compte qu'elle est enceinte de Simon ....
-Genre : romance
-Public : Tout public



Chapitre 1


Non mais quelle idiote, comment avait elle put croire un seul instant, qu’après un an d’absence il aurait pas chercher ailleurs. Mais si, ce salaud avait trouvé une poufiasse et le pire c’est qu’il avait attendu le lendemain pour lui en parler, attendu d’avoir passer la nuit avec elle. Elle se sentait salie, souillée, dans son bureau, les rapports s’accumulaient, Elisabeth avait du mal à retenir ses larmes. Mais devant les autres, son masque de leader cachait la détresse, et la déprime. Et un problème plus grave était apparu, devait elle se réjouir ou demander à Carson de pratiquer l’opération. Il n’arrivait pas du tout à moment propice, mais ce n’était pas de sa faute, il n’était pour rien, elle se leva et sortit sur le balcon prendre l’air, fixant l’océan, elle n’entendit pas la porte s’ouvrir. L’homme l’entendit pleurer, et se rapprocha !

J : Elisabeth est ce que tout vas bien ?

Elle sursauta, et sécha ses larmes avant de lui faire face. Les yeux rouges, le teint pâle, John avait remarqué depuis leur retour que quelque chose n’aller pas, elle mangeait encore moins souvent et sortaient rarement de son bureau.

E : Oui, tout va bien colonel merci.
J : Vous êtes sur, Je vous trouve palotte ces derniers jours !
E : Je vous assure colonel, je vais bien. Vous êtes venue pour quoi au juste ?
J inquiet : vous invitez à manger ! J’ai remarqué que depuis ce matin vous n’avez rien avalé !
E : Désolé colonel, mais j’ai beaucoup de dossier en retard et je n’ai pas faim merci !
J : Bon dans ce cas, je vais nous chercher des plateaux et je vais vous aidez !
E : Colonel ! S’il vous plaît, j’ai besoin d’être seule !

John fut surpris par sa demande, mais il était hors de questions qu’il la laisse seule. Quelque chose n’allait pas et était bien décidé à le découvrir.

J : Désolé mais il n’est pas question que je vous laisse seule, depuis notre retour vous faîtes semblant !
E : Semblant de quoi ?
J : D’allez bien !

Ils se fixèrent du regard, fatigué et épuisé, elle ne put résisté plus longtemps, des larmes coulèrent sur ses joues. John s’en voulait de l’avoir mit dans cet état, mais elle devait e confier à quelqu’un. S’écroulant au sol, il la rattrapa de justesse et elle se blottit dans ses bras pleurant à chaudes larmes, caressant son dos afin de la calmer, John ne savait pas ce qui avait bien put la rendre si triste mais se jura que si on lui avait fait du mal, il se vengerait.

J : Elisabeth, racontez moi ! Libérez vous, cela vous fera du bien !
E : Merci John, mais aujourd’hui je peux pas, je …
J : Ce n’est pas grave, j’attendrai. Vous pouvez venir me voir à n’importe quelle heure de la nuit et du jour ! Alors on mange ici ou au mess !
E sourit : Ici merci ! John !
J : Le strict minimum je sais !
E : Merci !

John partit chercher leur repas au mess et rassurer leurs amis, Carson entra à son tour avec des papiers à la main. Il stoppa en voyant son amie les yeux rougis par les larmes.

C : Elisabeth ? J’ai vos résultats avec moi !
E : Je le suis, je ne m’étais pas trompée ?
C : Non. Elisabeth si vous voulez avorter, il faudra retourné sur terre !
E : Vous ne pouvez rien faire ici ?
C : Je suis désolé, je n’ai pas le matériel pour ça ! Je dois y retourner, je vous laisse les résultats !
E : Merci Carson !
C : Si vous …
E sourit : Je sais Carson, merci !

John aperçu Carson, et tenant les plateaux du mieux qu’il pouvait, couru. Son cœur battait fort, de peur qu’Elisabeth soit malade et qu’il n’était pas là, Carson remarqua les 2 plateaux et comprit alors pourquoi Elisabeth l’avait coupé dans sa phrase, mais surtout Elisabeth avait quelqu’un sur qui compter et cela le rassura.

J : Elisabeth ?
E : Tout va bien. Merci Carson !
C : Prenez soin de vous !
J : Vous n’êtes pas malade ?
E : Non, non !

John l’aida beaucoup à faire ses rapports, cela la surpris, car lorsqu’elle regarda sa montre, il était un peu plus de 23h00. Il la raccompagna jusqu’à ces quartiers et rentra dans les siens. Il aurait tout donné pour savoir ce qu’elle avait, pour rester avec elle, la réconforter, elle, sa supérieur, une sublime femme, mais pourquoi fallait il qu’il tombe amoureux de sa chef ? D’accord, il avoua que la première fois qu’il a vu ce petit bout de femme en antarctique, ses yeux verts l’avaient hypnotisé, mais ce fut lors de leurs nombreuses disputes qu’il avait le plus envie de l’embrasser. La sonnerie de ses quartiers tinta, se levant mais sans le vouloir, il se ravisa lorsqu’il trouva Elisabeth.

J : Ca ne va pas ? Allez, venez !

Elisabeth entra sans un mot et s’installa sur le lit de son second, John s’assit à ses côtés, sans un mot. Aucun des deux ne bougea, essayant de trouver leurs mots, quelques minutes plus tard, elle osa parler.

E : Je suis enceinte !

John ne bougea et ne prononça aucun mot, la laissant parler à son rythme. Mais le fait de savoir qu’elle était enceinte, lui fit perdre tout espoir de la conquérir. Alors comme ça, elle avait déjà quelqu’un et maintenant, elle portait son enfant, à cet homme si chanceux.

E en larmes : Je ne sais pas quoi… est ce que je dois prévenir le père, alors qu’il m’a laisser tombé pour une autre …
J : Pardon ? Il vous a planté, alors que vous attendez son enfant !
E : John s’il vous plaît !
J : Pardon.
E : Quand nous sommes retournés sur terre, j’ai passé la nuit avec mon fiancé, vous me direz c’est normal, mais le lendemain… il me dit qu’il refuse de venir sur atlantis car il a trouvé une autre femme… que cela fait plusieurs mois qu’ils se voient régulièrement qu’il …

Il la prit dans ses bras et la consola du mieux qu’il pouvait, comment un homme pouvait il faire ça. Même pour lui, qui a la réputation d’être un dragueur, s’était un acte odieux à ses yeux.

E : Est-ce … que je peux dormir ici, cette nuit ?
J : Bien sur ! Je vais vous passer un tee-shirt.

Elisabeth enfila le tee-shirt et s’allongea sur le lit à l’intérieur de la couette, John lui donna une 2ème couverture et un autre oreiller. Elle lui prit la main et l’incita à rester prés d’elle, il s’allongea alors à côté d’elle, se blottissant contre lui, elle s’endormit aussitôt. Il la contempla maudissant cet homme, comment avait il osé faire ça ! Maintenant il comprenait pourquoi elle s’isolait dans son bureau, il s’endormit respirant l’agréable odeur de sa supérieur.

J'ai pas très bien compris... tu poste ta fic mais attends le lien de notre part???
Normalement, si ta fic fais plus de 5 pages word, tu nous envoies en lien par mail et nous on mettra le lien une fois hébergée, mais du moit' moit'.
Jte demanderais de relire "comment poster vos oeuvres?"
Merci.